Née à Paris, Kat est une artiste-peintre française qui a déménagé à Montréal en 2011, afin d'y établir sa carrière artistique. Elle a exposé son art dans différentes villes comme Paris, Berlin, New-York et Montréal. Elle a également participé à quelques festivals internationaux de street-art.

Une grande partie de son art est dédié à l'art engagé: les problèmes environnementaux, la puissance et l'influence des lobbies sur notre société, le pouvoir économique des grandes marques, la défense des droits des animaux...

    Kat exprime sa créativité à travers différents univers artistiques comme l'art urbain, le brandalisme ou encore le surréalisme. Elle laisse exprimer son imagination, sa réflexion sur notre société, sans se limiter à un seul style en particulier. L'art est pour elle, l’essence-même de la liberté d’expression, sans contraintes ni règles établies. La personnalité de l’être humain est complexe et est composée d'une multitude de facettes, tout comme l'imaginaire d'un artiste.

    En 2019, elle fait face à des problèmes respiratoires, causés par les produits qu'elle utilise. Elle commence alors à arborer des masques respiratoires sur des "Bisounours" (Calinours) qu'elle considère comme le symbole même de l'innocence, de la vulnérabilité et de la naïveté. L'année suivante, en 2020, les masques sont associés au virus de la Covid mais pour elle, c'est  le symbole depuis 2019, de problèmes respiratoires, de la pollution de l'air, des problèmes environnementaux...

    Sa série "2050, les murs restants" est un mélange entre le brandalisme et l'art de rue.

Elle y représente un monde apocalyptique, en 2050, où seules les affiches publicitaires des puissants lobbys et marques résisteront et se tiendront encore sur les murs, symbole de leur toute puissance qu'elle souhaite dénoncer. Ces toiles, très texturées, donnent l'illusion d'avoir chez soi, un morceau de mur de la rue. Le street art étant pour elle un moyen de transmettre un message au public à travers ses peintures.

​​